Au mois d’avril, j’ai suivi la formation sur le «piégeage
et gestion des animaux à fourrure» (PGAF).
Mieux vaut tard que jamais, j’arrive à 37 ans et ça faisait longtemps
que j’y songeais. L’automne dernier, j’avais invité mon ami Sylvain L[…] à
venir tendre des collets à canidés sur quelques sites où je vais chasser. Ça
m’a inspiré et me suis aussitôt inscrit auprès de la Fédération des Trappeurs
gestionnaires du Québec. Mon but n’est pas nécessairement de capturer des
coyotes (j’aime trop les chasser!), mais de piéger l’ensemble des espèces
disponibles.
Le cours en tant que tel s’est échelonné sur toute
la fin de semaine. Le samedi, c’était pratique. Le formateur, M. Serge
Larivière, un trappeur renommé dans la province de Québec, nous a enseigné
quelques rudiments sur la sécurité et la manutention des pièges. C’est simple,
mais vaut mieux avoir une approche prudente avec ces engins mortels. Par
exemple, il peut ne pas être commode de se faire prendre les deux pouces dans un
piège en X, surtout si ce piège est attaché après un arbre…
Humblement, je dois admettre ne pas avoir appris
grand chose puisque je discute souvent de piégeage avec Sylvain. Loin de moi la
prétention de dire que cette formation est inutile, bien au contraire, mais on
y aborde la base seulement. Le formateur l’avait bien dit au début du cours;
les connaissances s’acquièrent sur le terrain ou au contact de trappeurs
expérimentés.
Cet été, je préparerai ma « flotte » de
pièges afin d’être fin prêt pour la prochaine saison qui débutera le 25
octobre. C’est donc une nouvelle activité que j’ajoute au reste!
À suivre
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